Genre : Romance Paranormale, Urban Fantasy
Edition : Milady
Longueur : 536 pages
Format : Série (Ombres de la Nuit T.12)
Lien achat : Amazon
Enfant, Thronos, un vrekener aux ailes menaçantes, découvre son âme-soeur : Lanthe, une petite sorceri pleine de malice. Mais entre le prince de Cyel et la Reine de la Persuasion, nul amour n'est possible, car leurs deux peuples se haïssent, se querellent, s'entretuent. La rencontre de ces deux enfants aux familles divisées par la haine engendre, fatalement, une tragédie qui se clôt en bain de sang. Cinq cents ans plus tard pourtant, Thronos poursuit inlassablement Lanthe. Et quand, enfin, il parvient à faire d'elle sa prisonnière, il jubile d'avance : la belle enchanteresse, qui a marqué son âme, va enfin subir sa vengeance...
Avec ce tome, on se rapproche d'une limite, enfin plutôt, je me rapproche d'une limite. Celle de l'ennui.
Une fois de plus, on revient en arrière sur la chronologie de l'Ascension pour commencé notre récit lors de la pagaille entraîné par l'arrivée de la Dorada sur l'île prison. Premier point noir, parce que cette île, je commence à en avoir assez. Pas moins de 3 couples qui en découle, qu'on nous rabâche cette nuit de pluie et de cauchemar, je pense qu'on a plus que bien saisi le principe. Après quoi, on retrouve le fameux jeu du "je te fuis, tu me suis, je te fuis tu me suis" qui aussi est proche de l'usure jusqu'à la corde dans les récits de Cole. Second point noir contre la série. Les caractères des personnages sont certes, un poil différents des autres, mais assez peu d'après mes souvenirs (ben oui, les 11 tomes d'avant je les ai pas relu moi, donc c'est un peu loin). En gros, du rabâchage, du vu et un peu revu, pas vraiment de surprise.
Seul point positif, on fait vraiment un pas de géant en ce qui concerne le mystère qu'est Nïx. On découvre une nouvelle espèce (quoique...) avec les Vrekeners et, même s je sais l'avoir déjà dit auparavant, on sent que la fameuse Ascension a débuté et n'est pas juste telle l'épée de Damoclès, sur le point de tomber on sait pas trop quand. Tout comme, il est vrai, l'écriture est toujours aussi immersive et emphatique, les points de vue successifs bien équilibré et tout. C'est juste dommage que le fond soit en deçà de la forme.
Au final, un tome que j'ai moins aimé que les autres, mais qui prit seul, mérite une bonne note. Série à suivre donc, en espérant qu'elle arrive à un peu plus de renouvellement.
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