vendredi 20 mars 2015

Conseil

Auteur : Karen Lad
Genre : Jeune Adulte, Urban Fantasy
Edition : Chat Lune
Longueur : 342 pages
Format : Saga (Clan du Hameau T.3)
Lien achat : Amazon


Elie a passé un mois à parfaire sa formation de Soigneforme. Lorsqu’elle revient au Hameau, Jéricho et Thomas sont très occupés à essayer de s’entretuer.
Une jeune femme est battue à mort, et tatouée…
Un importun, chargé d’un étrange et inquiétant fardeau, fait irruption dans leur jardin…
Où tout cela va-t-il encore mener le clan du Hameau ?


Un test tout simple pour savoir si un livre vous a plu, est de regarder la difficulté avec laquelle vous arrivez à arrêter la lecture en cours de route. Avec ce tome 3 du Clan du Hameau, j'ai failli craquer en allant jusqu'à la nuit blanche, c'est donc dire à quel point j'ai accroché.

Je me suis très vite laissé embarqué dans ce nouveau volume, après un rapide temps d'adaptation qui s'est fait facilement, les noms et événements récents étant moins vif dans ma mémoire vu que ma lecture du tome 2 date d'il y a 11 mois. Bonne nouvelle donc, l'auteur arrive à nous remettre très vite dans le contexte sans que cela paraisse trop appuyé. De plus, elle a la bonne idée d'introduire, encore dirait certain, de nouveau personnage qui permette de redécouvrir une nouvelle fois le monde des créatures surnaturelles. J'insiste sans doute mais c'est bien amené, vraiment palpitant et peut-être un peu trop facile comme ficelle scénaristique, mais qui s'en souci tellement on est plongé dedans !
Il est vrai qu'on voit assez peu le clan, que des zones d'ombres persistes et que la dureté de certains événements ne sont pas assez posés. Je persiste tout de même à dire que c'est bien fait et que dans la lecture ça ne manque pas tant que ça. Les accros des détails hurleront aux grand dieux que ça dessert de trop l'histoire, mais à vrai dire elle est assez dense et aux anecdotes bien placé donc les chipotages au revoir.

Au final, cette lecture fut un moment de plaisir pour ma part, elle n'était pas parfaite je le reconnais, mais je m'en fiche, j'ai aimé.

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