Dante Garcea

Auteur : Suzanne Wright
Genre : Bit-lit, Romance Paranormale
Edition : Milady
Longueur : 480 pages
Format : Série (Meute du Phénix T.2)
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Des cendres de la meute renaîtra l’amour
Jaime Farrow a toujours eu le béguin pour Dante. Mais lorsque leur clan a été divisé, ils se sont perdus de vue. Désormais adultes, et réunis dans la meute du Phénix, leur retrouvailles auraient pu être torrides. Sauf que le Beta n’a de place dans sa vie que pour son travail et que Jaime est tourmentée par un lourd secret. Mais si ce qu’elle cache met les siens en danger, Dante doit le découvrir même si pour cela il doit se soumettre à la tentation.

Une suite ? Vraiment ? Non plutôt une copie du 1 en un peu plus light.

Si dans le tome 1 Dante en perso secondaire donnait à croire qu'il était un homme sage et réfléchi, ce livre le voit devenir aussi sauvage et crétin que Trey et non, ce n'est pas une bonne chose pour moi. Seul le pseudo maintien qu'il a dans les moments de tension, où il devient juste un connard, voit ce contrôle être mis en avant. La lecture fut plus agréable que le tome précédent, moins de scène de sexe pour le plaisir du sexe, mais avec les exacts enjeu et réaction. C'est bien connu que toutes les femmes au fort caractère ne veulent qu'une chose, qu'un homme ultra viril (lire macho) la plaque contre au choix, un mur, un lit, un bureau, un arbre, et lui mette des doigts dans le cul pour avoir le souffle coupé et fermer sa gueule. A livre cru, commentaire cru.
Même les relations avec les personnages secondaires restent les même. Greta et Taryn s'envoient mille piques, idem pour Greta et Jaime ; Shaya est la meilleure amie de Taryn, elle devient la super méga copine de Jaime... On prend les mêmes et on recommence.

L'histoire entre Dante et Jaime n'a pas fait plus mouche que celle de Trey et Taryn et pourtant, comme pour celui d'avant, j'ai envie de savoir ce qui arrive aux autres personnages qui m'ont l'air mieux. Jamais deux sans trois, je lirai sans doute le troisième tome pour être sure et certaine qu'il n'y à rien à rattraper, je dois être maso quelque part.